Comme chaque année, le 18 juin est déclaré Journée Internationale de la Médiation. Et comme chaque année, la médiation se positionne comme un processus reconnu de gestion de conflits, dans lequel un tiers impartial (médiatrice/médiateur) soutient les personnes concernées à rechercher ensemble une solution.

En effet, la médiation s’est avérée être un processus efficace et efficient pour faire face à des situations complexes, particulièrement dans des constellations où les antagonistes sont censés maintenir des relations, par exemple sur le lieu de travail, dans la famille ou dans le voisinage. Dans cette optique, la médiation s’associe aux méthodes de management ou au partenariat social, aux cultures familiales, à la gestion immobilière, etc. La pensée de la médiation devient alors une attitude : Le conflit est compris comme faisant partie intégrante des relations et comme base de progrès pour le bien commun.

Et si cette attitude était une clé pour améliorer les relations et les résultats dans tous les domaines de l’activité humaine, y compris les domaines plus compétitifs? Et si le succès économique, sportif ou encore politique se mesurait à la qualité de la coopération, au fairplay et à la capacité de concordance ? Et si cette attitude finissait par devenir un nouvel avantage concurrentiel?

Publié le 18 juin 2019